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À 13 heures, le survol commence, tous les membres de l’équipage savent quoi faire.
Le plan était le suivant:
en respectant l’ordre, les hélicoptères décollaient et prenaient leur place dans la formation. De la région de Beauvechain, à 15 km à l’est de Bruxelles, ils décriront un arc de
allemand à gauche et un Airbus Tigre français à droite.
L'équipage est en position. Les rotors grondent. Nous courons lentement, puis attendons l'approbation du décollage. Cela prend quelques bonnes minutes jusqu'à ce que ce soit notre tour. Bien que nous ayons eu cinq
ses fiers bâtiments coupés par de grands boulevards.
Un virage à gauche donne une vue incroyable: une ligne d'hélicoptère derrière nous, semblables à des oiseaux de proie noirs, dans la même direction et dans le même but. Oui, c'est juste un défilé, me dis- je, mais quand d’autre as-tu la
cercle abordant de la ville par le nord, puis se dirigeront vers le nouveau quartier général de l’OTAN en formation.
L'ensemble du détachement d'hélicoptères est divisé en cinq formations, chacune avec un hélicoptère Agusta 109 BA Hirundo du pays hôte, avec le signe GRFN, le Griffon étant affiché sur le blason du 17e Escadron de Beauvechain. Les deux hélicoptères roumains se trouvaient dans la deuxième formation, derrière le leader, suivis par un Airbus Tiger
décollages seulement au cours des trois derniers jours, cette fois, je ressens un décollage différent. L'hélicoptère est une bête massive, douée de personnalité, maîtrisée par les compétences des pilotes. « Oui, il y a des tremblements dans une telle formation », la clarification vient. Le premier groupe apparaît
clair et compact à l'horizon, nous suivons le leader belge, puis les tigres allemand et français après nous.
Bruxelles se présente avec sa banlieue, ses quartiers urbains,
chance de voir quelque chose comme ça?! Une trace de joie traverse le visage de chaque membre de l’équipage, mais elle est rapidement remplacée par l’attention et la concentration sur la mission. Le bâtiment de l'OTAN se voit à l'horizon.......
À l'atterrissage, tout le monde sourit.
De retour à la salle de
réunion pour un débriefing. Les conclusions sont satisfaisantes, le plan a été suivi et il n'y a pas eu de problèmes. De petites corrections de temps et d'espace
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